Parce que seul ce qui est écrit peut être transmis...

... J’écris encor ce soir les humeurs qui m’animent
Laissant percer en moi mes désirs les plus fous.
J’écris ce qui me vient, ce qui me rend jaloux
Sombrant tout doucement dans un opaque abîme.

Ces courants si pervers édifiant mes passions
Ces idées m’assaillant quand j’ouvre mes prisons,
Ce silence envoutant berçant mes illusions,
Ces couleurs de l’âme sont ma respiration.
Voir la suite Suite

©

J’attends, plein de regrets, prostré dans mon silence
Je renie mon passé, invoquant sa présence
J’enrage chaque soir pour combler cette absence
Le possible me fuit quand œuvre la prudence...
Voir la suite Suite

©

Sûrement, tu te délectes du vent
Qui s’attache à évaporer tes larmes
Tu savoures la fraicheur de son chant
Quand il s’ébroue de Milan jusqu’à Parme...
Voir la suite Suite

©

Encore une fois je me suis fait prendre
à te suivre dans tes paradis
à oublier plus rien comprendre
je sais je sais c,est de la folie
Je me suis perdue dans tes silences
transporté par l’indifférence
c’est plus pareil quand tu es là
c’est comme un rêve être avec toi...
Voir la suite Suite

©

Aujourd’hui comme hier il reprend son chemin
Sa route se déploie, l’entrainant vers demain
Son désert se construit quand sombrent ses chimères
Aussi, il se nourrit de son imaginaire...
Voir la suite Suite

©

Quoi !?
Non, je ne pleure pas !
J’ai juste un peu de difficulté à ouvrir les yeux.
Je suis juste un peu énervé, un peu dépité…...
Voir la suite Suite

©

Vous me dites, ce jour, que je suis trop passif
Alors qu’hier vous me considériez rétif
Mais, savez-vous que pour elle, en acte ou en vers,
Je pourrais refonder le cœur de l’univers ?...
Voir la suite Suite

©

Cherche à fuir la fourberie
Les dogmes dithyrambiques
Reflet de l’hypocrisie
De prêcheurs machiavéliques...
Voir la suite Suite

©

Ceci est le début de mon histoire. Mais je préfère commencer par la fin. Nous reviendrons petit à petit sur ce qui m’a poussé à faire ca. Ce qui m’a poussé à me retrouver ce soir seule dans ma baignoire, dans l’eau chaude rosie par le sang.. Celui émanent des veines de mes poignets, posés délicatement sur mes jambes soudain bien pales. Je sens petit à petit la vie s’éloigner de mon corps, comme si mon énergie s’échappait goutte à goutte, comme si mon ame s’évadait de la prison qu’est devenu mon etre et qui pourtant par le passé… Continuer la lecture

©

Je marche sans un but méditant sur la haine
J’avance éperdu sans voir où mes pieds me trainent
Je vais où les relents de mes humeurs me portent
J’erre comme un cafard, comme un morne cloporte...
Voir la suite Suite

©

Nouveau printemps, nouveau soleil,
Nouveaux crus de couleur orseille
Nouvel affront du temps qui passe
De l’âge odieux qui nous efface...
Voir la suite Suite

Les écrits > Page 8