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Sûrement, tu te délectes du vent
Qui s’attache à évaporer tes larmes
Tu savoures la fraicheur de son chant
Quand il s’ébroue de Milan jusqu’à Parme

Sûrement, tu ne crois plus aux audaces
Des sentiments qui éclairaient tes jours
Tu te sens nue, acculée, dans l’impasse
Mortifiée par ton immuable amour

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♦ JC Fartoukh ©

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