prose


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Bonjour , je me prénomme Louis, en patois Niçois c’est Lilou, et je remercie ma mère d’avoir attendu que la guerre soit presque finie pour accoucher et me permettre de voir la Baie des Anges avec sa promenade des Anglais.
Je suis né en 43 dans le vieux Nice surnommé le Babazouké en souvenir de la domination Sarrasine et qui veut dire « Bab el souk » soit , la porte du marché ....
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Il était une fois…...
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Ceci n’est pas une recommandation, mais une obligation, y compris pour les troupes amateurs.
Merci de respecter les droits des auteurs afin que les troupes et le public puissent toujours profiter de nouveaux textes....
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Ceci est le début de mon histoire. Mais je préfère commencer par la fin. Nous reviendrons petit à petit sur ce qui m’a poussé à faire ca. Ce qui m’a poussé à me retrouver ce soir seule dans ma baignoire, dans l’eau chaude rosie par le sang.. Celui émanent des veines de mes poignets, posés délicatement sur mes jambes soudain bien pales. Je sens petit à petit la vie s’éloigner de mon corps, comme si mon énergie s’échappait goutte à goutte, comme si mon ame s’évadait de la prison qu’est devenu mon etre et qui pourtant par le passé… Continuer la lecture

Jessica et Sebastien. Non. Capucine et Nathan. Amandine et Pierre selon Oriane. Elle avait fait de ses cheveux noirs corbeaux une natte sur le côté droit de son visage. Ses lunettes de soleil étaient plantées dans ses cheveux alors que le soleil avait disparu depuis longtemps. De grosses boucles d’oreilles rondes se mêlaient à ses cheveux. Elle était belle. Un peu trop de bijoux à mon goût mais elle était belle. Lui, était simple dans son haut bleu. Des cheveux coupés comme il faut et un long nez fin. Je voyais leurs mains se lier puis se séparer puis… Continuer la lecture

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Les jours ne sont
Pas tous les jours
Il y a des jours
Ou le cœur s’en ivre de joie...
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L’écriture c’est comme un long fleuve tranquille que distillent mes pensées
au gré de la musique des mots qui heurtent et caressent ma plume et,
tels un ruban, s’épanouissent et s’étirent sur la feuille gourmande qui frémit,
d’impatience.
Alors, la plume s’agite et se cabre les pensées s’entrechoquent l’écriture devient parole,
elle exulte, se libère et c’est le bonheur qui jaillit....
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Il ne restera rien !

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Lou se tenait sur son lit, les jambes croisées. Antoine était sur son ventre. Papa vint, pour la deuxième fois.
– Tu dois te lever, Lou, il est temps.
– Il est temps de quoi ?
– D’aller prendre ton petit-déjeuner. Puis d’aller à l’école.
– Antoine doit prendre son petit-déjeuner d’abord, dit Lou, montrant son ours.
– Il peut descendre avec toi....
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