Parce que seul ce qui est écrit peut être transmis...

... J’écris encor ce soir les humeurs qui m’animent
Laissant percer en moi mes désirs les plus fous.
J’écris ce qui me vient, ce qui me rend jaloux
Sombrant tout doucement dans un opaque abîme.

Ces courants si pervers édifiant mes passions
Ces idées m’assaillant quand j’ouvre mes prisons,
Ce silence envoutant berçant mes illusions,
Ces couleurs de l’âme sont ma respiration.
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La mort, inévitable, guette tous les vivants
Et ne laisse pas en paix les êtres qui ont mal
Elle foudroie les plus forts de son éclair fatal
Tapie dans la pénombre, silencieuse elle attend....
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Tu sais, sans ton regard je peux voir l’infini
Sans ta bouche et tes bras je peux même embrasser
Sans ta peau et tes mains je peux toucher la vie
Sans l’onde de ton cœur je peux encore aimer...
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Douce musique de la vie
Berce, lourde, mon coeur hagard
Où mes pensées folles s’égarent
Portant ma flamme à l’infini
Prés de l’extase et de l’oubli....
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Libre, enfin libre,
Comme l’oiseau qui à quitté son nid,
S’envoler très loin,
Vers d’autres horizons,
Et vers d’autres passions,

Libre pour parcourir le monde,
Oublié le passé,
Aller vers l’avenir,
Affronter les dangers,
S’accrocher à la vie....
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Dans le noir,
Ton corps chaud,
Comme un volcan en éruption,
S’agite sur le mien,
Tout en ébullition.

Dans le noir
Tes caresses si douces
De tes mains baladeuses
Dessinent sur mon corps
Un coeur remplis d’amour....
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M Muguet du premier mai,
U Unique dans l’année,
G Garde tes belles clochettes,
U Une bonne odeur de printemps,
E Et beaucoup d’espoir à partager
T Tu es notre porte bonheur...
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Filer comme glisse l’étoile....
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Un jour j’aurai vécu et mon passé pervers
Viendra rompre le froid et la monotonie
De mes jours s’écoulant avec moins d’énergie
M’entraînant peu à peu vers l’ultime désert....
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La pierre nie le vent, s’habille d’impassible
Et comme l’océan, apparait insensible.
La pierre qui brunit quand s’égrènent les ans,
Se délite pourtant lorsque file le temps....
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Juste ces quelques mots pour exprimer mes rêves
Quand je repense à toi comme je t’ai perçue
Quand dans mon âme il brille un étrange salut
Juste quelques instants où mon esprit se lève
Pour bénir les ardeurs que nous vécûmes, brèves...
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