Parce que seul ce qui est écrit peut être transmis...

... J’écris encor ce soir les humeurs qui m’animent
Laissant percer en moi mes désirs les plus fous.
J’écris ce qui me vient, ce qui me rend jaloux
Sombrant tout doucement dans un opaque abîme.

Ces courants si pervers édifiant mes passions
Ces idées m’assaillant quand j’ouvre mes prisons,
Ce silence envoutant berçant mes illusions,
Ces couleurs de l’âme sont ma respiration.
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Tu n’as jamais voulu m’entendre dire « je t’aime »
Tu n’as jamais voulu accepter mon amour
C’est pour ça que ce soir je t’écris ce poème
Pour te dire que je t’aime, et t’aimerai toujours...
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Elle avait de grands yeux de biche. Il avait fait sa connaissance peu de temps auparavant. Un matin, son maître lui avait dit : viens, nous allons à la ferme des Giovanni. Il s’en faisait une fête, car il aimait gambader derrière le vélo de son maître, même si cela le fatiguait de plus en plus....
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C’est vrai ? On va se promener tous les deux ? C’est super…...
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Pendant des années, des années,
Elles ont crié « libération »...
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De ses yeux si profonds, je garde le sucré
L’immense et tendre abime où je me suis tant plu
La douceur de l’azur, le scintillement cru
Diaphane arc-en-ciel aux nuances bigarrées
Charme de l’innocence aux calmes apaisés...
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ACTE 3 – SCÈNE III...
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Je sais bien qu’un jour viendra
Où je ne serai plus là...
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Toi mon homme de la nuit
Tu m’emmènes à ma perte
Car tu es dans mon cœur
Comme une plaie ouverte...
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ACTE 3 – SCÈNE II...
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