poeme

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Car mon plus grand souci est encor de vous voir
Encor penser à vous, à nos corps qui s’embrasent
A l’amour qui portait notre vie, et ses phrases
Que, seul, je prononçais pour conserver l’espoir...
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Afin d’atteindre l’apogée de l’existence
Avant que la folie des hommes ne nous frappe
Bien avant que l’indécision ne nous rattrape
Ne nous offense au plus profond de nos essences...
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Ces souvenirs anciens alimentent mes heures
Ces rires enfantins ornés de mille fleurs
Ces accès importuns de colère en couleurs
Je suis seul à les voir lorsque s’ouvre mon cœur...
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Elle a un corps de fée aux lignes effilées
Des galbes envoutants, la démarche en parade
Elle lance parfois de coquines œillades
M’invitant à l’ivresse, sans mot prononcé...
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Le morne glas a, par cent trente fois, sonné !...
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L’une est la lumière qui danse
La douceur de l’eau qui scintille
Les reflets de l’incandescence
Incrustés dans ses yeux qui brillent...
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… Car au fond, au bout du compte, il ne restera rien !...
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Oublier de chercher sa place,
De se cacher, de se terrer,
De se voiler les yeux, la face
Dans un trou de rat, embusqué...
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Méditant sur l’ennui
Au bord d’une falaise
Assis sur une chaise
Je contemple l’ « orbi »
En indécis...
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Dans un silence de ténèbres
Je vous imaginais célèbre
Mais je ne vis que vos contours
Dans une alcôve en contre-jour...
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