poeme

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C’est l’âge d’or, l’âge futile
L’âge coquin, l’âge violent
L’âge tendre, l’âge nubile
L’âge émergeant, l’âge printemps...
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Lâcher prise, et sans haine atteindre enfin l’oubli
Dans ce monde frustré où plane l’interdit
Permettre à l’avenir de devenir réel
Ignorer le dédain et déployer ses ailes...
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Une branche...
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Tu n’es plus là mais je t’adore
En songe, je me fais vanesse
Qui te survole de ses ors
Puis qui t’embrase, te caresse...
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Les jours ne sont
Pas tous les jours
Il y a des jours
Ou le cœur s’en ivre de joie...
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La constance est un leurre, elle n’est qu’érosion…
Tu es las, immobile, à rêver d’évasion
Errant tout à coté de l’amour, de la vie
Pour camoufler tes maux, tu feins l’ataraxie...
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Tout contre un orme, assis
Adossé à son tronc
Je me sens investi
Du bruit des horizons...
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Tu te souviens de cet éphèbe au visage oblong
Avec ses yeux envoutants, ses soyeux cheveux blonds
Au sortir de l’enfance, tu n’avais pas connu
La jouissance charnelle de deux êtres à nus...
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Le danger est à chaque pas
Il nous menace du trépas
Si nous échouons l’avenir
Nous ne pourrons plus revenir...
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C’est sûr, tu oublieras l’amour de cet éphèbe
Qui émergeait, distant, au milieu de la plèbe
Tout ce qui t’avait plu, sa douce évanescence
Qui mettait en émoi tes sentiments, tes sens...
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