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Sans la lumière hâlée, à quoi servent tes yeux ?
Noyé dans l’univers où le vide est aux cieux
Sans fluide diapré tu ne vois que du noir
Que le sombre dégout qui borde tes espoirs

La radiance te fuit, elle évite tes heures
En s’éloignant de toi elle attise tes peurs
Tu te sens embrumé, perdu dans les ténèbres
Guidé par tes erreurs, tes errances funèbres

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♦ JC Fartoukh ©

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