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Maintenant que nous deux devenons étrangers
Que ta vie s’anime et s’égrène loin de moi
Maintenant que ton cœur vibre pour d’autres rois
Que nos projets sont désormais désenlacés
Je peux te dire, amie, que je ne t’ai aimé

Pourtant je t’ai choyé et j’ai chéri ton corps
J’ai pris tant de plaisir à vivre près de toi
Tant de bonheurs furtifs, de merveilleux émois
De désirs insolents façonnant le décor
D’un bout de vie douillet où l’on se sent si fort

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♦ JC Fartoukh ©

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