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Tu as encor le teint d’un matin rosissant
Tu nies, infantile, l’écoulement du temps
J’aurais aimé te perdre et te faire un enfant
Mais tu es bien trop jeune, on serait imprudent

Je t’ai trouvé sensible et timide et sincère.
Tu m’as souri souvent du fond de tes yeux verts.
J’ai cru y voir l’envie d’inonder ta lumière
Mais tu es bien trop jeune et ce serait pervers

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♦ JC Fartoukh ©

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