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Non, je ne veux y croire et je ne veux rêver
Mais ces pensées fleuries s’imposent malgré moi.
Je ne peux voir l’amour mais je subis sa loi.
L’amour m’est interdit s’il n’est pas insensé.

Si je ferme les yeux c’est que je vois ton corps
Tes jambes allongées qui n’en finissent plus
Tes seins lourds et charmants au galbe si pointu
Ta féline allure haussant ce précieux décor.

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♦ JC Fartoukh ©

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