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« Qui pourrait se vanter, d’ici et par le monde
D’être l’égal d’Humphray, qui les dieux seuls seconde ?
Pour se tenir debout aux côtés du grand mage,
Qui serait assez fort ? Qui serait assez sot ?
Qui pour lui disputer les glands ornementaux
Qui parent son habit d’un rutilant sillage ?
Qui oserait braver les tortures sans nombre
Frappant qui, seulement, marcherait sur son ombre ?
Nul ne peut contester l’implacable puissance
De celui qui, ce soir, se tient sur cette estrade,
Celui qui, à lui seul, vaut bien mille pléiades
Et les supplanterait de sa luminescence.
♦ Tristan Kopp © ♦
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