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Dans ce profond silence où m’égarent mes rêves
Je sens qu’une absconse angoisse attise mes peurs.
Je réalise au fond que lentement je meurs
Que l’instant parait long mais que la vie est brève.

Dans ces souvenirs où je puise mon essence
Au fond de cet abime où survit mon passé.
Il est des temps féconds où j’ai l’humeur d’aimer
Et des temps de peine où traîne mon existence.

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♦ JC Fartoukh ©

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