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De ce vin si amer que l’on boit dans les coupes
Avec les mains mouillées des torrents des montagnes
Et froides comme l’eau
Comme la transparence
Comme de ces yeux clairs
Des yeux bleus de visages
Des torrents lumineux comme le ciel immense
Des courses de nuages
Puissants
Comme sauvages
Comme l’eau des montagnes
Qui tranche dans les pentes la terre et les rochers
De sauvages puissances
Des traînées lumineuses
Des poignards incisifs
Des ravins de beauté

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♦ Carzon Joëlle ©

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