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Tu vois, encor ce soir tu rodes, Ariane
Encor je te bénis, ton aura me désarme
Encor tu me fais mal et réveilles mes larmes
Mais la force des pleurs s’atténue et se fane

« Femme de sentiment, je livre mon esprit
Je souffre et mes actes deviennent mon ennui
Je me crois pure mais mon innocence a fui
Je ne vois d’horizon que le passé meurtri

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♦ JC Fartoukh ©

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