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De ses yeux si profonds, je garde le sucré
L’immense et tendre abime où je me suis tant plu
La douceur de l’azur, le scintillement cru
Diaphane arc-en-ciel aux nuances bigarrées
Charme de l’innocence aux calmes apaisés

« Derrière ce regard où j’ai puisé mes heurs
J’ai cru y discerner la source de tes pleurs
La crainte d’un adieu sans la moindre chaleur
Le souvenir furtif des instants de pudeur
La tristesse d’un soir, angoissant, sans ardeur

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♦ JC Fartoukh ©

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