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Si je te frôle trop, tu enflammes mes sens
Et j’ai le sentiment que tu sens ma présence
Que ton corps insoumis flânant dans tous les sens
Sait qu’il agite, par ses à-coups, ma souffrance.

Je rêve de tes douceurs demoiselle accorte.
Que dans les profondeurs de ton coeur tu me portes.
Que nos sentiments sonnent à la même porte
Mais tu es embrasée par une autre âme forte

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♦ JC Fartoukh ©

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