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Aujourd’hui vient le temps de ta triste oraison
Car tu es condamné, par le sort, à périr
Par cette maladie tu t’en vas dépérir
Sans la moindre espérance d’une guérison
Ce cancer, tu le sais, c’est ta lourde prison

Demain, tu reverras les êtres que tu aimes
Tu leur diras adieu sans pour autant montrer
Que l’heure de ta fin est déjà arrivée
Tu grimeras ton corps par des onguents, des crèmes
Pour ne rien laisser voir de ta pâleur extrême

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♦ JC Fartoukh ©

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